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Hamed Traoré

Burkina Faso
Hamed Traoré

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Mohamed Traoré dit « Hamed Traoré » est né au Burkina Faso. Il commence à travailler comme soudeur. À partir de 2006, il vit à Bamako (Mali). Lorsque la guerre éclate en 2013 dans le nord du pays, le jeune homme accompagne des reporters de grands médias internationaux. Son premier photoreportage, réalisé en 2015, a pour sujet les « fous » qui, en général, ne sont pas enfermés en Afrique. Trois ans plus tard, l’artiste porte son attention sur une petite ville du Nord-Congo, et la même année, il capte la vie d’un bidonville de Conakry (Guinée).

Libérés, série « Les invisibles d’Amzalazala »

À Amzalazala, le bidonville situé au cœur de Conakry, capitale de la Guinée, on vit au rythme des passages du train annoncés par le klaxon strident. L’art d’Hamed Traoré joue des contrastes de lumière et nous donne l’impression de regarder une séquence d’un film en noir et blanc. Même si le sol est jonché de déchets divers, aucune forme de misérabilisme ne transparaît dans cette photographie qui met en avant la dignité des habitants.

Hamed Traoré

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Burkina Faso

Expositions Dapper

Bibliographie dapper

À propos

Mohamed Traoré dit « Hamed Traoré » est né au Burkina Faso. Il commence à travailler comme soudeur. À partir de 2006, il vit à Bamako (Mali). Lorsque la guerre éclate en 2013 dans le nord du pays, le jeune homme accompagne des reporters de grands médias internationaux. Son premier photoreportage, réalisé en 2015, a pour sujet les « fous » qui, en général, ne sont pas enfermés en Afrique. Trois ans plus tard, l’artiste porte son attention sur une petite ville du Nord-Congo, et la même année, il capte la vie d’un bidonville de Conakry (Guinée).

Libérés, série « Les invisibles d’Amzalazala »

À Amzalazala, le bidonville situé au cœur de Conakry, capitale de la Guinée, on vit au rythme des passages du train annoncés par le klaxon strident. L’art d’Hamed Traoré joue des contrastes de lumière et nous donne l’impression de regarder une séquence d’un film en noir et blanc. Même si le sol est jonché de déchets divers, aucune forme de misérabilisme ne transparaît dans cette photographie qui met en avant la dignité des habitants.

En images

L'artiste avec la Fondation Dapper