Karim Barka
▪︎ Expositions Dapper
Vivre ! Photographies de la résilience
(29.03.19 au 31.05.19)
▪︎ Bibliographie dapper
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▪︎ À propos
Karim Barka est né en 1990 à Tiznit (Maroc) où il étudie les arts appliqués au lycée. En 2011, il poursuit ses études à l’Institut national des beaux-arts de Tétouan ; il est diplômé en 2015. À travers différents médiums – dessin, installation, photographie et vidéo –, Karim Barka interroge les multiples façons du corps de s’inscrire dans le temps et dans l’espace. Karim Barka a participé à plusieurs expositions collectives au Maroc et au Sénégal.
Série « Water Nomads »
Karim Barka dessine ses personnages avec la lumière.
La série photographique« Water Nomad » (« Les Nomades de l’eau ») a été réalisée sur la côte de Sidi Ifni, au Maroc. En accentuant les contrastes du blanc et du noir le photographe parvient à produire un impact visuel fort : les personnages semblent faire partie du monde subaquatique.
Mystérieuse, onirique, l’atmosphère de « Water Nomad » nous invite tout à la fois à entrer dans l’Océan pourvoyeur de nourriture, et à nous tenir éloignés du bord, au-delà duquel se trouvent tant de dangers.
Le rivage constitue-t-il une protection, une barrière ou un lieu de
passage pour ceux qui espèrent trouver au loin un mieux-vivre ?
Karim Barka
Expositions Dapper
Vivre ! Photographies de la résilience
(29.03.19 au 31.05.19)
Bibliographie dapper
À propos
Karim Barka est né en 1990 à Tiznit (Maroc) où il étudie les arts appliqués au lycée. En 2011, il poursuit ses études à l’Institut national des beaux-arts de Tétouan ; il est diplômé en 2015. À travers différents médiums – dessin, installation, photographie et vidéo –, Karim Barka interroge les multiples façons du corps de s’inscrire dans le temps et dans l’espace. Karim Barka a participé à plusieurs expositions collectives au Maroc et au Sénégal.
Série « Water Nomads »
Karim Barka dessine ses personnages avec la lumière.
La série photographique« Water Nomad » (« Les Nomades de l’eau ») a été réalisée sur la côte de Sidi Ifni, au Maroc. En accentuant les contrastes du blanc et du noir le photographe parvient à produire un impact visuel fort : les personnages semblent faire partie du monde subaquatique.
Mystérieuse, onirique, l’atmosphère de « Water Nomad » nous invite tout à la fois à entrer dans l’Océan pourvoyeur de nourriture, et à nous tenir éloignés du bord, au-delà duquel se trouvent tant de dangers.
Le rivage constitue-t-il une protection, une barrière ou un lieu de
passage pour ceux qui espèrent trouver au loin un mieux-vivre ?