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Rolook

République démocratique du Congo
Romario Lukau

▪︎ Expositions Dapper

▪︎ Bibliographie dapper

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▪︎ À propos

Romario Lukau, dit « Rolook », est né à Kinshasa en 1994. Il sort diplômé de l’Institut des beaux-arts en 2012 et intègre ensuite l’Académie des beaux-arts où il obtient son diplôme de graduat en 2015. À travers son art, Rolook porte un regard critique sur la politique et les médias d’aujourd’hui. Artiste particulièrement engagé, il participe à la diffusion des artistes contemporains congolais. Il est cofondateur du collectif Tokeyi — « Avançons », en lingala — qui vise à promouvoir l’art et la culture à Kinshasa.

 

Série « Entre rêve et réalité »

Avec sa série « Entre rêve et réalité », Rolook se met en scène à Kinshasa, sur le rivage du fleuve Congo, pour interpeller les siens et les pousser à réfléchir sur leurs rêves d’ailleurs et leur vision — erronée — de l’Europe comme eldorado afin qu’ils évoluent. Positionné dos à l’objectif, un jeune migrant laisse sa vie derrière lui. Paradoxalement, il emporte très peu d’effets personnels et part pieds et torse nus, soulignant ainsi qu’il n’est pas du tout armé pour le voyage et les épreuves, peut-être fatales, qu’il s’apprête à affronter.

Romario Lukau

Rolook

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Romario Lukau, dit « Rolook », est né à Kinshasa en 1994. Il sort diplômé de l’Institut des beaux-arts en 2012 et intègre ensuite l’Académie des beaux-arts où il obtient son diplôme de graduat en 2015. À travers son art, Rolook porte un regard critique sur la politique et les médias d’aujourd’hui. Artiste particulièrement engagé, il participe à la diffusion des artistes contemporains congolais. Il est cofondateur du collectif Tokeyi — « Avançons », en lingala — qui vise à promouvoir l’art et la culture à Kinshasa.

 

Série « Entre rêve et réalité »

Avec sa série « Entre rêve et réalité », Rolook se met en scène à Kinshasa, sur le rivage du fleuve Congo, pour interpeller les siens et les pousser à réfléchir sur leurs rêves d’ailleurs et leur vision — erronée — de l’Europe comme eldorado afin qu’ils évoluent. Positionné dos à l’objectif, un jeune migrant laisse sa vie derrière lui. Paradoxalement, il emporte très peu d’effets personnels et part pieds et torse nus, soulignant ainsi qu’il n’est pas du tout armé pour le voyage et les épreuves, peut-être fatales, qu’il s’apprête à affronter.

En images

L'artiste avec la Fondation Dapper