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Angola, figures de pouvoir

34.00 

▪︎ À propos

Après une introduction générale de Christiane Falgayrettes-Leveau, directeur du musée Dapper, les meilleurs spécialistes résument l’essentiel de leurs connaissances.
Manuel Gutierrez, anthropologue, fournit une synthèse des perspectives actuelles sur la préhistoire et l’archéologie, tandis que l’histoire ancienne – avec les structures étatiques, la traite négrière et la colonisation portugaise – est évoquée par Maria Alexandra Miranda Aparício, directeur des Archives nationales d’Angola, qui aborde également la période contemporaine.
Comme le montre Boris Wastiau, historien de l’art et directeur du musée d’Ethnographie de Genève, pouvoirs politique et religieux sont intimement liés. En témoignent les statuettes de culte et les insignes de dignité des Chokwe, Lwena, Ovimbundu, Lwimbi et Songo.


Parmi les réalisations les plus puissantes figurent les masques de bois sculpté ou réalisés à partir de matériaux éphémères. Révélateurs d’une riche cosmogonie, ils sont, comme l’indique l’historien de l’art Manuel Jordán, les piliers de la mukanda, processus d’éducation des jeunes garçons.
Les rites liés à l’initiation, la divination et la guérison se sont répandus dans le nord-est de l’Angola et le sud-ouest de la République démocratique du Congo. Viviane Baeke, conservateur adjoint au musée royal de l’Afrique centrale de Tervuren, présente la faculté de transformation des objets utilisés par des groupes tels les Nkanu, Suku, Yaka et Zombo.
Bárbaro Martinez-Ruiz, historien de l’art, pose quant à lui un regard nouveau sur l’esthétique et la fonction des arts kongo, tout particulièrement sur le nkisi, élément «incontournable» des pratiques religieuses.


Dans le sud-ouest de l’Angola, des figures de fertilité accompagnent les jeunes filles et empruntent des formes très stylisées. Leur fabrication et leur usage sont évoqués par Maria do Rosário Martins et Maria Arminda Miranda, conservateurs au musée de l’Université de Coimbra.
La dernière section de l’ouvrage est consacrée à un artiste contemporain. Le critique d’art Adriano Mixinge révèle comment António Ole, l’un des plasticiens angolais les plus considérés, renouvelle son œuvre.

▪︎ Les auteurs

Christiane Falgayrettes-Leveau, Manuel Gutierrez, Maria Alexandra Miranda Aparício, Boris Wastiau, Manuel Jordàn, Bárbaro Martinez-Ruiz, Viviane Baeke, Maria do Rosário Martins et Maria Arminda Miranda, Adriano Mixinge.

Sous la direction de Christiane Falgayrettes-Leveau et Boris Wastiau

Éditions Dapper, 2010, Angola.

▪︎ Éditions

Édition brochée 
32,23€  H.T. / 34,00€ T.T.C.
(TVA 5,5% – France)
ISBN : 978-2-915258-28-8
Poids : 1,90 kg

▪︎ Format

Format : 24 x 32 cm
308 pages
Nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc.

Angola, figures de pouvoir

34.00 

▪︎ Les auteurs

Christiane Falgayrettes-Leveau, Manuel Gutierrez, Maria Alexandra Miranda Aparício, Boris Wastiau, Manuel Jordàn, Bárbaro Martinez-Ruiz, Viviane Baeke, Maria do Rosário Martins et Maria Arminda Miranda, Adriano Mixinge.

Sous la direction de Christiane Falgayrettes-Leveau et Boris Wastiau

Éditions Dapper, 2010, Angola.

▪︎ Éditions

Édition brochée 
32,23€  H.T. / 34,00€ T.T.C.
(TVA 5,5% – France)
ISBN : 978-2-915258-28-8
Poids : 1,90 kg

▪︎ Format

Format : 24 x 32 cm
308 pages
Nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc.

▪︎ À propos

Après une introduction générale de Christiane Falgayrettes-Leveau, directeur du musée Dapper, les meilleurs spécialistes résument l’essentiel de leurs connaissances.
Manuel Gutierrez, anthropologue, fournit une synthèse des perspectives actuelles sur la préhistoire et l’archéologie, tandis que l’histoire ancienne – avec les structures étatiques, la traite négrière et la colonisation portugaise – est évoquée par Maria Alexandra Miranda Aparício, directeur des Archives nationales d’Angola, qui aborde également la période contemporaine.
Comme le montre Boris Wastiau, historien de l’art et directeur du musée d’Ethnographie de Genève, pouvoirs politique et religieux sont intimement liés. En témoignent les statuettes de culte et les insignes de dignité des Chokwe, Lwena, Ovimbundu, Lwimbi et Songo.


Parmi les réalisations les plus puissantes figurent les masques de bois sculpté ou réalisés à partir de matériaux éphémères. Révélateurs d’une riche cosmogonie, ils sont, comme l’indique l’historien de l’art Manuel Jordán, les piliers de la mukanda, processus d’éducation des jeunes garçons.
Les rites liés à l’initiation, la divination et la guérison se sont répandus dans le nord-est de l’Angola et le sud-ouest de la République démocratique du Congo. Viviane Baeke, conservateur adjoint au musée royal de l’Afrique centrale de Tervuren, présente la faculté de transformation des objets utilisés par des groupes tels les Nkanu, Suku, Yaka et Zombo.
Bárbaro Martinez-Ruiz, historien de l’art, pose quant à lui un regard nouveau sur l’esthétique et la fonction des arts kongo, tout particulièrement sur le nkisi, élément «incontournable» des pratiques religieuses.


Dans le sud-ouest de l’Angola, des figures de fertilité accompagnent les jeunes filles et empruntent des formes très stylisées. Leur fabrication et leur usage sont évoqués par Maria do Rosário Martins et Maria Arminda Miranda, conservateurs au musée de l’Université de Coimbra.
La dernière section de l’ouvrage est consacrée à un artiste contemporain. Le critique d’art Adriano Mixinge révèle comment António Ole, l’un des plasticiens angolais les plus considérés, renouvelle son œuvre.

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