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Léon Nyaba Ouedraogo

Burkina Faso, France

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▪︎ À propos

Nyaba Léon Ouedraogo, né au Burkina Faso en 1978, partage sa vie entre Paris et l’Afrique de l’Ouest. Ce photographe témoigne depuis 2003 des conditions de vie et de travail en Afrique. Il a réalisé plusieurs reportages au Brésil et aux États-Unis. Il est co-fondateur du collectif Topics Visuel Arts Platform. La Fondation Dapper lui a notamment consacré une exposition à Gorée en mai 2017.

Les fantômes du fleuve Congo

Nyaba Léon Ouedraogo a exploré le Beach, quartier populaire de Brazzaville (République du Congo), pour rendre compte du quotidien de ses habitants. Chacun exerce plusieurs petits métiers pour subsister.

L’environnement du fleuve est propice à la vie mystique. On garde souvent secrets les noms des pratiques rituelles qu’elles soient nouvelles, mêlées de références ancestrales ou chrétiennes.

Dans un bosquet « sacré », un couple s’est retiré pour effectuer des rituels. Leur corps est couvert d’argile blanche pour être purifié, à la suite de la perte d’un enfant né trop tôt.

Un guérisseur effectue la nuit des ablutions sacrées dans les eaux du fleuve, où il est dit que demeure Mami Wata. Cet esprit féminin qui protège les vivants se retrouve dans les croyances populaires de l’Afrique et des Caraïbes.

Léon Nyaba Ouedraogo

Burkina Faso, France

Expositions Dapper

Bibliographie dapper

À propos

Nyaba Léon Ouedraogo, né au Burkina Faso en 1978, partage sa vie entre Paris et l’Afrique de l’Ouest. Ce photographe témoigne depuis 2003 des conditions de vie et de travail en Afrique. Il a réalisé plusieurs reportages au Brésil et aux États-Unis. Il est co-fondateur du collectif Topics Visuel Arts Platform. La Fondation Dapper lui a notamment consacré une exposition à Gorée en mai 2017.

Les fantômes du fleuve Congo

Nyaba Léon Ouedraogo a exploré le Beach, quartier populaire de Brazzaville (République du Congo), pour rendre compte du quotidien de ses habitants. Chacun exerce plusieurs petits métiers pour subsister.

L’environnement du fleuve est propice à la vie mystique. On garde souvent secrets les noms des pratiques rituelles qu’elles soient nouvelles, mêlées de références ancestrales ou chrétiennes.

Dans un bosquet « sacré », un couple s’est retiré pour effectuer des rituels. Leur corps est couvert d’argile blanche pour être purifié, à la suite de la perte d’un enfant né trop tôt.

Un guérisseur effectue la nuit des ablutions sacrées dans les eaux du fleuve, où il est dit que demeure Mami Wata. Cet esprit féminin qui protège les vivants se retrouve dans les croyances populaires de l’Afrique et des Caraïbes.

En images

L'artiste avec la Fondation Dapper