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Ransome Stanley

▪︎ Expositions Dapper

Afriques. Artistes d’hier et d’aujourd’hui (21.01.18 au 06.05.18)

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Né en Angleterre en 1953, de père nigérian et de mère allemande, Ransome Stanley a étudié à l’Académie Merz de Stuttgart (Allemagne). Il vit et travaille à Munich (Allemagne) depuis les années 1980. Certaines de ses peintures, nourries d’images d’archives datant de la période coloniale, soulèvent des questions identitaires. Plusieurs de ses œuvres se trouvent dans des collections de musées : Museum der Weltkulturen de Francfort, Oppenheim Collection, Staatliches Museum für Völkerkunde de Munich.

 

Masque

Dans cette œuvre, l’ambiguïté des liens entre l’Afrique et l’Europe se traduit par une atmosphère « surréaliste ». Le masque de zèbre s’adapte parfaitement au corps du personnage principal. Il en constitue la tête et il est par ailleurs doté d’une force expressive, mi-humaine mi-animale.

Un homme de petite taille coiffé d’un fez rouge tient la main d’un minuscule personnage. Celui-ci est représenté sous la forme d’une silhouette réalisée comme un graffiti. Ces images pourraient faire écho à des scènes de la vie coloniale et aux relations entre maître et serviteurs.

Ransome Stanley

À propos

Né en Angleterre en 1953, de père nigérian et de mère allemande, Ransome Stanley a étudié à l’Académie Merz de Stuttgart (Allemagne). Il vit et travaille à Munich (Allemagne) depuis les années 1980. Certaines de ses peintures, nourries d’images d’archives datant de la période coloniale, soulèvent des questions identitaires. Plusieurs de ses œuvres se trouvent dans des collections de musées : Museum der Weltkulturen de Francfort, Oppenheim Collection, Staatliches Museum für Völkerkunde de Munich.

 

Masque

Dans cette œuvre, l’ambiguïté des liens entre l’Afrique et l’Europe se traduit par une atmosphère « surréaliste ». Le masque de zèbre s’adapte parfaitement au corps du personnage principal. Il en constitue la tête et il est par ailleurs doté d’une force expressive, mi-humaine mi-animale.

Un homme de petite taille coiffé d’un fez rouge tient la main d’un minuscule personnage. Celui-ci est représenté sous la forme d’une silhouette réalisée comme un graffiti. Ces images pourraient faire écho à des scènes de la vie coloniale et aux relations entre maître et serviteurs.

En images

L'artiste avec la Fondation Dapper